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"Sands" - The Mediterranean - Andalusian Orchestra Feat. Mark Eliyahu
The Israeli Andalusian Orchestra (Hebrew: התזמורת האנדלוסית הישראלית Arabic: الأوركسترا الإسرائيلية الأندلسية) or Mediterranean Orchestra is an award-winning Israeli orchestra based in Ashdod, Israel founded in 1994. The orchestra is composed of around 50 musicians and lyricists mainly of Moroccon and Russian origin and features traditionel Sephardic Jewish-Arab and Andalusian music and poetry, combining classical Arab-Andalusian and European instruments. The orchestra's artistic director and head conductor is Tom Cohen. Since its establishment, the Israeli Andalusian Orchestra, which is financed by the Ashdod municipality and the Culture Ministry, has become an Israeli musical and cultural icon, touring in Israel, the United States,and European countries
StreetIsrael.tv site nouveau, original, drôle !
Street Israel Crew ? hein qu’est-ce que c’est ? bah c’est des gens comme toi, comme nous, comme eux, et qui ont en commun un quelque chose pour Israël : une curiosité, une passion, un amour, une méconnaissance…bref un intérêt, un réel intérêt façonné au cours d’années d’expériences réelles ou pas de clichés comiques, d’envies fugaces, de coups de cœurs qui font mal, de caprices éphémères, de découvertes incroyables, d’amours passagers, de folies nocturnes, d’ ambiances débridées… bref le véritable Israël…
Fail Compilation 2012
Les lois de la physique sont implacables.
8 soirs de Hanouka
Hag Sameah à Tous ;-)
Waldemar Bastos
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Après sept ans de silence, on retrouve avec un grand plaisir la voix si singulière, presque feulée, parcourue d'émouvantes vibrations, de Waldemar Bastos. Il relit ici quelques-unes de ses chansons (les poignantes Aurora et Velha Xica), mais aussi des succès du patrimoine angolais, comme Mbiri Mbiri ou Tata Ku Matadi : des ballades douces-amères, en mode voix-guitare, qu'il rhabille, pour certaines, avec les cordes graves et lyriques du London Symphony Orchestra. Ainsi parés, ces titres sondent avec plus d'élégance encore les bleus de l'âme du peuple angolais, meurtri par quarante années de guerres (coloniale puis civile). On y entend la difficulté du quotidien, mais aussi la douleur de l'exil, et l'espoir d'un avenir meilleur. Des thèmes récurrents chez ses compatriotes, notamment le rocailleux Bonga ou le « jeune » Paulo Florès, qui publient eux aussi de nouveaux disques (1) . Tous les trois se sont construits dans l'exil, que ce soit au Portugal ou au Brésil. Chacun témoigne d'une identité musicale angolaise qui s'est régénérée au contact de toutes les traditions lusophones : entre semba angolais, samba brésilienne, fado et saudade cap-verdienne. Un beau triplé discographique pour fêter les dix ans du retour à la paix.